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Filipe Antunes Madeira da Silva
Filipe est professeur à la Faculté de droit de l’Université del Rosario à Bogota en Colombie. Brésilien, il est titulaire d’un diplôme du Collège Universitaire de Sciences Po, d’un master en droit économique et d’un doctorat en droit de l’Ecole de droit de la même institution. Sa thèse de doctorat terminée en 2022, The Conquest of the Devil’s Paradise : International Law, Frontier-Making and Capitalist Power, présentait une histoire du droit international dans l’expansion du capitalisme en Amazonie pendant le boom du caoutchouc au tournant du 19ème siècle. Sa recherche porte principalement sur la gouvernance des ressources naturelles, en adoptant une approche critique et historique pour explorer ses liens avec le droit international, l’idée de développement et les droits humains. Il enseigne le droit international et le droit international des droits humains en licence et en master, et il dirige le programme sur les droits humains du master en droit de l’Université del Rosario. Avant de rejoindre cette institution, il a été chargé de cours au Collège universitaire de Sciences Po et à l’Université Paris X-Nanterre en France et tuteur pendant plusieurs années dans le programme « Human Rights, Economic Development and Globalisation » de la Clinique de droit de Sciences Po.
Adodé Bignon Jean-Pierre Ayena
Adodé Bignon Jean-Pierre Ayena est candidat à un master de type recherche à la Faculté de droit de l'Université de Sherbrooke, depuis le semestre d'hiver 2021. Auparavant, il a effectué un master 1 en études européennes au Global Studies Institute ( GSI), puis un master en droit international et européen, à l'Université de Genève en Suisse. Sa formation en diplomatie et relations internationales et son expérience en matière de droits de l'homme lui ont valu une première immersion professionnelle au sein du système des Nations Unies à Genève, en tant qu'assistant de coopération multilatérale. Depuis, Jean-Pierre AYENA s'intéresse, dans le cadre de ses recherches, aux approches critiques en droit international, en particulier aux Third world approaches to international law (TWAIL). Sa perspective consiste à interroger les fondements intrinsèques du droit international contemporain, afin de comprendre les raisons de l'absence de reconnaissance et de protection des réfugiés climatiques par ce droit, pour pouvoir proposer des moyens de les prendre en compte. Jean-Pierre est assistant d'enseignement et de recherche, puis membre de l'Entraide universitaire mondiale du Canada à l'Université de Sherbrooke.
Olivier Barsalou
Diplômé de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et de la New York University (NYU), Olivier Barsalou est professeur au Département des sciences juridiques de l’UQAM. Ses travaux consacrés à l’histoire du droit international ont exploré, du point de vue des archives du gouvernement des États-Unis, l'émergence des régimes onusiens de protection des droits de la personne dans le monde post-1945. Ses recherches actuelles analysent le rôle déterminant qu’a joué et joue toujours le droit international dans l’avènement de ce que l’on considère aujourd’hui comme la crise mondiale des déchets, qu’ils soient sous la forme de CO2 ou de plastique. Ses plus récents travaux sur le sujet (co-écrits avec son collègue Michael H. Picard) ont été publiés dans le Chinese Journal of International Law et dans un ouvrage collectif paru chez Edward Elgar en 2021.
Rémi Bachand
Après des études de sciences politiques (B.A., UQAM, 1998), Rémi Bachand a fait une maîtrise (LL.M., UQAM, 2000) et un doctorat en droit international (Université Paris I, Panthéon-Sorbonne, 2007). Il passa ensuite une année comme chercheur postdoctoral à l'Université Harvard. Il enseigne au Département des sciences juridiques de l'Université du Québec à Montréal depuis 2008. Depuis, il a été professeur invité à l'Institut des Hautes Études Internationales (Université Paris II: Panthéon-Assas), à l'Université Paris VIII (Vincennes-St-Denis) et à l'Université Paris I (Panthéon-Sorbonne) ainsi que chercheur invité à la Universidad de los Andes (Bogota, Colombie). Il a aussi été le titulaire de la Chaire Henri Rolin de droit international (Belgique) pour l'année 2019-2020.
Noémie Boivin
Noémie Boivin est stagiaire postdoctorale à la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke et coordonnatrice du Laboratoire pour la recherche critique en droit. Elle détient un doctorat en droit de la Benemérita Universidad Autonónoma de Puebla, une maîtrise en droit de l’Université du Québec à Montréal et un baccalauréat en relations internationales et droit international de cette même université. Elle a été doctorante invitée à l’École de droit de Sciences Po Paris et chercheure invitée au Colegio de la Frontera Sur (San Cristóbal/Tapachula, Mexique). Noémie s’intéresse aux catégories juridiques de la migration internationale, à l’intersection entre les systèmes d’immigration et d’asile, à la perspective décoloniale et à l’ethnograhie juridique en contexte mexicain. Sa recherche doctorale, financée par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, a exploré la dichotomie entre régularité et irrégularité migratoire dans le cas de femmes étrangères à la frontière sud du Mexique (Tapachula). Son projet postdoctoral s’intitule : Contention humanitaire de la migration irrégulière : ethnographie juridique en territoires de transit au Mexique.
Alexandra Bouchard
Alexandra a obtenu son baccalauréat en droit à l’Université du Québec à Montréal en 2015. Elle est devenue membre du Barreau du Québec en 2017 à la suite d’un stage effectué pour le contentieux de la Ville de Montréal. Elle poursuit actuellement ses études au doctorat en droit à l'Université de Sherbrooke. Elle s’intéresse aux domaines du droit administratif, du droit de la gouvernance et de la théorie du droit. Son projet de maîtrise portait sur les influences du Nouveau management public sur la gestion du Tribunal administratif du Travail. Alexandra travaille également comme auxiliaire de recherche et comme auxiliaire d’enseignement à la faculté.
Lauren Cavallier
Lauren Cavallier est candidate au doctorat en droit à l’Université de Sherbrooke. Elle a débuté son parcours à l’Université d’Avignon en France, ou elle a obtenu un baccalauréat en droit. Elle a par la suite été acceptée à la maitrise en droit de type recherche à l’UdeS en 2019, où elle a rendu un mémoire portant sur les interactions juridiques entre les systèmes européens et autochtones du XVIIe au XIXe siècle. Désormais étudiante au doctorat depuis l’hiver 2022, ses centres d’intérêts portent sur l’adaptation du système judiciaire en faveur des Premières Nations et Inuit du Canada, sur l’accessibilité à la justice, la justice de proximité, la gouvernance autochtone, et sur les rapports entre les Autochtones et le système de santé Québécois. Elle a d’ailleurs remporté le concours de l’Institut Canadien pour l’Administration de la Justice, obtenant ainsi la bourse Charles D. Gonthier pour son projet de recherche portant sur la dignité autochtone dans le milieu de la santé au Québec. Elle souhaite devenir professeure pour sensibiliser les étudiants à la cause autochtone, et souhaite jouer un rôle actif dans les processus de reconnaissance des droits des Premiers peuples.
Marie-Claude Desjardins
Marie-Claude est professeure à la Faculté de droit de l'Université de Sherbrooke depuis 2011. Sa thèse de doctorat, réalisée en cotutelle à l’Université Laval et à l’Université de Bordeaux, se consacrait à l’analyse de la certification du commerce équitable depuis une perspective juridique. Ses recherches doctorales l'ont amenée à étudier les normes sociales et environnementales dans des vignobles certifiés équitables au Chili, en Afrique du Sud et en Argentine. Elle s’intéresse principalement aux certifications d’origine privée, à la responsabilité sociale et environnementale des entreprises, au droit de la consommation, au droit international du travail et à l’accès à la justice.
Véronique Fortin
Véronique est professeure à la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke. En 2015, elle a complété un doctorat en criminologie, droit et société à University of California, Irvine. Sa thèse, Taking the Law to the Streets: Legal and Spatial Tactics Deployed in Public Spaces to Control Protesters and the Homeless in Montreal, portait sur la mobilisation du droit municipal comme outil de contrôle des populations marginalisées à Montréal. Son approche ethnographique l’a amenée à travailler étroitement avec des personnes en situation d’itinérance et des manifestant-es ayant reçu des constats d’infraction pour leur occupation de l’espace public à Montréal. Ses travaux portent principalement sur la criminalisation des personnes marginalisées, le contrôle pénal de l’espace public et l’ethnographie en droit.
Michaël Lessard
Michaël Lessard s’intéresse particulièrement à la manière dont le droit privé appréhende les individus vulnérables ou marginalisés, et mobilise des approches critiques pour réfléchir ces enjeux. Ses travaux actuels portent principalement sur les violences sexuelles et conjugales, les animaux, la pluriparentalité, l’aide médicale à mourir et les fondements théoriques du droit privé. Détenteur d'un double baccalauréat en droit civil et en common law de l'Université McGill, il a travaillé à titre d'avocat-recherchiste à la Cour d'appel du Québec avant de poursuivre ses études à la maîtrise en théorie du droit à l'Université de New York, puis au doctorat en droit à l’Université de Toronto. Il est membre du Barreau du Québec depuis 2016. Avant de joindre à titre de professeur la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke en 2023, Michaël Lessard a complété un séjour de recherche au Centre for Animal Rights Law de l’Université de Cambridge. Michaël Lessard est intéressé à superviser des personnes étudiantes qui souhaitent explorer les approches critiques ou comparées au droit privé, les fondements théoriques du droit privé, le droit des familles, le droit des personnes ou le droit des animaux.
Hélene Mayrand
La professeure Mayrand est directrice du LRCD et co-responsable de la coordination scientifique. Elle est titulaire d’un baccalauréat en droit de l’Université de Sherbrooke, d’une maîtrise en droit de l’Université Cambridge et d’un doctorat en droit de l’Université de Toronto. Elle a été auxiliaire juridique à la Cour d’appel fédérale. Elle est cofondatrice du Laboratoire pour la recherche critique en droit. Elle enseigne le droit de l’immigration et des réfugiés, l’interprétation juridique et les théories du droit international et des relations internationales. Les recherches de la professeure Mayrand sont principalement en droit de l’immigration et des réfugiés ainsi qu’en droit de l’environnement, tant international que national. Elle s’intéresse particulièrement à développer des approches critiques du droit.
Derek McKee
Le professeur McKee a commencé sa formation universitaire à l’Université Harvard, où il a obtenu son baccalauréat ès arts en arts visuels et anthropologie sociale. Il a poursuivi une formation en droit civil et en common law à l'Université McGill. Il a ensuite travaillé, en 2006-2007, à la Cour suprême du Canada comme auxiliaire juridique auprès de la juge en chef Beverley McLachlin. En 2013, il a soutenu sa thèse doctorale à la Faculté de droit de l'Université de Toronto, portant sur la législation canadienne et la gouvernance mondiale en matière d’aide au développement, d’évaluation environnementale, et d’exportation des médicaments. De 2012 à 2018, il a été professeur de droit à l’Université de Sherbrooke, où il a entre autres dirigé les programmes de common law et de droit transnational. Il est membre du Barreau de l’Ontario depuis 2007. Au cours de ses études doctorales, il a été boursier du gouvernement de l’Ontario, du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH), et de l’Université de Toronto. À la Faculté de droit, Il enseigne principalement des cours de common law et de droit administratif.
MOUMOUNI KRISSIAMBA OUIMINGA
Krissiamba est juriste de formation et a exercé en cette qualité au Commissariat à la protection de la vie privée (CIL) du Burkina. Ses intérêts de recherche concernent le droit des technologies de l’information et de la communication, les dimensions juridiques et sociologiques des traitements algorithmiques des données, les droits de l’homme numériques, les théories critiques du droit et les sciences de l’information et de la communication. Son projet de thèse de doctorat porte sur le concept de données à caractère personnel et son fondement juridique dans le contexte de l’économie numérique.
Marie-Andrée Plante
Marie-Andrée Plante est professeure à la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke depuis 2023. Elle y enseigne les fondements du droit, le droit des biens ainsi que la méthodologie et la rédaction juridiques. Elle détient un double diplôme en droit civil et en common law de l’Université McGill, une maîtrise de l’Université d’Oxford ainsi qu’une maîtrise cohabilitée par l’École normale supérieure de Paris, l’EHESS et l’Université Paris Nanterre. Elle a été avocate-recherchiste à la Cour d’appel du Québec et directrice adjointe du Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé, avant de poursuivre ses études au doctorat en droit à l’Université McGill. Elle s’intéresse principalement à la construction et à l’opération des catégories de la pensée juridique, et aux résonances de celles-ci sur les imaginaires du droit. Elle cherche à voir sur quels modes de pensée et sur quelles histoires ces catégories reposent, dans le but de questionner leurs évidences et leurs vérités. Ses recherches actuelles portent sur la manière par laquelle une telle catégorie — la « victime » — se manifeste dans les discours juridiques canadiens contemporains. D’autres travaux qu’elle conduit actuellement touchent des thèmes tels que la notion de minorité en droit, les violences sexuelles et conjugales, ainsi que les animaux. Elle s’intéresse également à des sensibilités méthodologiques et théoriques telles que l'analyse de discours, les approches féministes du droit ou le droit et la littérature.
Alexandra Popovici
Alexandra est professeure à la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke. Elle s’intéresse aux institutions fondamentales du droit privé dans une perspective critique et comparée. Titulaire d’un double diplôme en droit civil et common law de la Faculté de droit de McGill, d’une maîtrise et d’un doctorat en droit privé de l’Université Laval, Alexandra détient également un baccalauréat en littérature comparée et en cinéma de l’Université de Montréal. Membre du Barreau du Québec depuis 2009, elle a été avocate-recherchiste à la Cour d’appel du Québec de 2008 à 2010 après avoir été directrice adjointe du Centre Paul-André Crépeau de droit privé et comparé de 2007 à 2008. Ses travaux actuels portent sur la fonction sociale du droit privé et touchent essentiellement la notion de pouvoir et de nouvelles manières de détenir des biens.
Josiane Rioux Collin
Josiane est professeure à la Faculté de science politique et de droit de l’Université du Québec à Montréal et co-responsable de la coordination scientifique du LRCD. Elle a obtenu son baccalauréat en droit, sa maitrise en administration des affaires et son doctorat en droit à l’Université de Sherbrooke, ainsi que sa maitrise en droit à l'Université d'Ottawa où elle s'est intéressée à la taxation dissuasive des boissons sucrées d'un point de vue de justice alimentaire. Membre du Barreau du Québec, les domaines qui l’intéressent comprennent notamment le droit de l'alimentation, le droit de la consommation, le droit de la santé et le droit des assurances. Son projet de thèse portait sur le rôle du droit dans l'accès à la saine alimentation.
Thomas Windisch
Thomas Windisch est titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en droit à l’UdeS. Il est actuellement chercheur invité au Centre interdisciplinaire de recherche en droit constitutionnel de l’Université Saint-Louis à Bruxelles tout en complétant son stage du Barreau du Québec sous la supervision de Pre. Alexandra Popovici. Il est aussi coordonnateur de la Chaire de recherche Droit, religion et laïcité, chercheur au CRDG et membre du LRCD. Ses champs de compétence sont principalement l’épistémologie juridique, la philosophie du droit, la théorie du droit et la sociologie du droit. Ayant notamment publié un livre de poésie et ayant traité des liens entre la philosophie kantienne et l’œuvre du poète Friedrich Hölderlin, certaines de ses recherches s’inscrivent dans le courant Droit et littérature. Il s’intéresse à plusieurs thématiques distinctes, dont la désobéissance civile, la conscience du droit chez les militants LGBTQ, les transformations de la normativité, le droit des biens et les enjeux reliés au langage juridique dans toutes ses formes.
Elkanah Babatunde
Elkanah Babatunde est chercheur postdoctoral à la Faculté de droit de l'Université de Sherbrooke et coordonnateur du Laboratoire pour la recherche critique en droit. Il est titulaire d'un doctorat en droit public et d'une maîtrise en droit des droits de la personne, tous deux de l'Université de Cape Town, en Afrique du Sud. Il a bénéficié en 2018/2019 de la bourse Yale-Fox à l'Université de Yale, aux États-Unis. Avant de rejoindre le monde universitaire, Elkanah a exercé en tant qu'avocat dans un cabinet d'avocats spécialisé représentant des clients dans une gamme de cas d'utilisation des terres et de droits environnementaux. Les recherches d'Elkanah se situent à l'intersection du droit international public, de la justice climatique et des droits de l'homme. Son projet de recherche actuel vise à examiner l'atténuation du changement climatique en tant que bien public mondial et ses implications sur les droits de propriété intellectuelle et le transfert de technologies climatiques des États développés parties à la CCNUCC vers leurs homologues en développement, en particulier les États africains. Ses travaux ont été publiés dans des revues à comité de lecture, notamment la Cambridge Law Review et la Canadian Journal of Law and Jurisprudence.
Sam Roshdi
Roshdi d’un bachelier et d’un master en droit à finalité public et international de l’ULB. Son mémoire portait sur la liberté d'expression sur Twitch à la lumière de la Charte européenne des droits de l'homme. Il a ensuite eu l'opportunité de poursuivre ses études en faisant un master spécialisé en droit international à l'ULB, où il a rédigé un mémoire sur la responsabilité internationale des actes commis par le groupe Wagner lors du massacre de Moura. Il s'intéresse aux théories du droit international et de la justice internationale. Dans ce cadre, il aimerait faire une thèse sur l'évolution du droit à la Cour internationale de justice.
Ansadou M. Cherenfant
Juriste de formation, Assistant Itinérant de terrain au Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR) de septembre 2015 à septembre 2016 et ancien stagiaire à la Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme (CIDH) de l’Organisation des États Américains (OEA) à Washington D,C, Ansadou M. Cherenfant est détenteur d’un baccalauréat en droit de la Faculté de Droit et des Sciences Economiques de l’Université d’Etat d'Haïti. Il est détenteur d’un Master 1 en Droit International des Droits de l’Homme (DIDH) et droit public de l’Université Catholique de Lyon, d’un double diplôme de Master 2 en histoire, théorie et pratique des droits de l’homme, mention droits des libertés des Universités Catholique de Lyon et Grenoble Alpes et deux Diplômes Universitaires de spécialisation en gestion de conflits, médiation et interculturalité et en Common Law respectivement à la Chaire Unesco (Mémoires,Cultures et Interculturalité) et à la Faculté de Droit de l’Université Catholique de Lyon. Récipiendaire d’une bourse d’excellence de la Fondation J.A De Sève, il poursuit des études de doctorat en droit (2023-2027) à la Faculté de Droit de l’Université de Sherbrooke sous la supervision de la Professeure Hélène Mayrand. Son sujet de recherche porte sur l’effectivité de la protection des droits humains dans le contexte migratoire : le cas des relations haïtiano-dominicaines.
Ancien boursier au programme International Visitor Leadership Program (IVLP) du Département d’État Américain aux États-Unis (mai 2013), il a enseigné de 2019 à 2022 le Droit International et Européen des Droits de l’Homme (DIEDH) et l’ introduction au Droit à l’Institut Régional de Formation Sanitaire et Sociale (IRFSS, Lyon, France). Il a été bénévole au département de diffusion du Droit International Humanitaire (DIH) de la Croix-Rouge française (2018-2022) et à la Chaire Unesco de l’Université Catholique de Lyon (2018-2023). Dans ses recherches, il s’intéresse particulièrement aux droit international des migrations, droit international des droits humains, droit international humanitaire et à la gestion de conflits.
Stéphanie Roy
Stéphanie Roy est professeure adjointe à l’Université de Sherbrooke. Elle enseigne le droit administratif, le droit des tribunaux administratifs de même que le droit animalier. En plus de ces domaines, ses recherches portent sur la gouvernance environnementale et les approches critiques du droit de l’environnement. Elle s’intéresse particulièrement aux obligations fiduciaires de l’État de protéger l’environnement dans l’intérêt des générations futures et à la capacité des tribunaux et du droit d’appréhender la transition écologique. La professeure Roy est également administratrice du Centre québécois du droit de l’environnement et est membre de son comité juridique.